Généralement, le smart building, ou aussi appelé bâtiment intelligent, est un bâtiment traditionnel qui s’appuie sur une couche d’éléments numériques, permettant d’optimiser les ressources énergétiques. Pour la plupart des entreprises, il représente l’opportunité de diminuer les divers coûts fonctionnels, tout en avançant des conditions efficaces à ses équipes. Il repose généralement sur la pratique de capteurs qui assureront à récupérer plusieurs données : dont le niveau sonore, la température, la présence ou non dans un endroit déterminé, l’hygrométrie, etc. À ces données de capteurs, il est tout à fait possible d’ajouter des informations perçues des systèmes de gestion technique de bâtiment. Pour cela, quelques éléments sont à tenir en compte pour optimiser la réduction de sa facture d’électricité avec smart building.
Smart building : c’est quoi ?
Un smart building ou smart connecté se définit l’ensemble des diverses technologies numériques, permettant de renforcer la performance énergétique d’une certaine entité. Grâce aux éventuelles innovations soutenues par le smart building, Il serait tout à fait possible de diminuer sa consommation énergétique, par le biais d’un réseau électrique connecté. Toutefois, cette action permet de fournir des données de nature distincte en temps réel dans l’enceinte du bâtiment (éclairage, occupation, température, etc.).
L’objectif est donc de mettre ces données à la disposition de chaque acteur aux alentours : dont les gestionnaires, les exploitants, et les occupants. En réalité, le concept smart building optimisera la consommation de l’énergie, du confort et de la sécurité des utilisateurs dans le bâtiment, ceci s’effectue dans le respect de certaines conditions spécifiques.
Comment fonctionne un smart building ?
Le bâtiment intelligent est constitué d’un écosystème ouvert, qui se fonctionne d’une part sur un certain bâtiment interconnecté (pourrait être tertiaire ou non) à partir des logiciels de l’entreprise (par exemple pour des réservations ou ticketing), et d’autre part avec des systèmes tiers de prendre en considération les informations liées au smart building.
Ceci en fonction de 3 approches d’intégration, dont : l’internet des objets ou IoT (interconnexion existante entre les objets et l’Internet, entre les environnements physiques et les lieux spécifiques), la gestion technique du bâtiment ou GTB (qui est un dispositif informatique placé dans des énormes bâtiments, dans le but de surveiller tous les équipements déjà installés), et la coexistence entre IoT et GTB (dans le même site). Par ailleurs, le smart building permet de recueillir toutes les données nécessaires, afin d’assurer leur transmission destinée à une plateforme logicielle.
Les principaux avantages du smart building
Des solutions efficaces sont à poursuivre afin que la facture d’électricité soit réduite. Il existe ainsi des avantages spécifiques, qui concernent donc : l’optimisation du confort des occupants, la gestion prévisionnelle des usages, et la réduction des coûts d’exploitation. Pour contribuer au confort des occupants, des enjeux environnementaux dont à prendre en considération dans le but d’augmenter la performance énergétique des bâtiments. Aussi, les usages et la mutualisation des espaces sont à ne pas négliger, afin d’empêcher l’escalade des constructions inutiles.
Toutefois, le smart building permet aussi de contrôler les coûts de maintenance concernant le bâtiment. Cet atout répond probablement aux enjeux économiques, vu que le smart building est pratiqué en phase d’exploitation (concentrant sur les coûts entiers du cycle de vie d’un bâtiment). Par ailleurs, le bâtiment connecté anticipera à l’usage des locaux et les tendances d’occupation. Cette participation est liée à l’adoption active des nouveaux usages sur l’efficacité du travail de l’entreprise.
Par la mise en place du télétravail efficace (ou flex office), on pourrait garantir l’étendue efficace des lieux dans le temps déterminé, et des conditions de travail saines. Mais par contre, le smart building représente aussi des avantages pour l’entreprise et son écosystème, qui varieront selon ses profils en liaison avec l’environnement du travail : occupants, techniciens/exploitants, et propriétaire/gestionnaire.